Oyez, Oyez, messires, mesdames, damoiseaux, demoiselles, nous somme réunis en ce jour pour célébrer l'union de deux être chers...
Ce fut à ce moment là que j'entendis le hurlement de frayeur à l'entrée du village.Un groupe de paysans couraient, beuglant, effrayés à n'en plus pouvoir.Tout le monde se retourna juste au moment pour voir apparaître les mercenaires....
Ce fut le dernier jour où je vus mon village...
Les mercenaires ne laissèrent personne en vie, pas même les vieillards, ne laissant que vivant ceux qui agonisaient...
Je m'enfuis devant ce spectacle funeste, courant, pleurant, courant, sans m'arrêter, trébuchant, m'écorchant, courant toujours...
Je ne serais dire combien de lieues je parcouru mais j'arriva dans une clairière et décida d'y reprendre mon souffle.
Je m'endormis et me réveilla le lendemain matin, à l'auror, couvert de rosée.
Je repensais à hier...Je me fis le devoir de venger mon village, et conscient de la dureté de ma tache, je me mis en route pour trouver le(la) légendaire Avalon...
Au bout de quatre jours de marche pénible à travers forêts et campagnes, j'aperçu enfin cette formidable cité, entourée de solides remparts...
Je fus acceuilli chaleureusement dans une taverne où se réunissais apparament les habitués.Après des explications sur mon passé assez macabre, l'on m'adouba et me nomma écuyer.
Je m'appelle Grimaldus et jure sur la Sainte Avalon, de me venger...
C'est le début de l'après-midi et il paraît qu'un nouveau est arrivé...
Je pris soint de bien sécher l'encre encore humide sur mon parchement, ferma le livre, pris ma cape couleure d'ébène et sortit...